Le Blog de Lucas

La taille de Booder comparée à Flora

On le sait tous : la taille, ça compte… mais pas toujours comme on l’imagine ! Prenez par exemple Booder et Flora. D’un côté, un humoriste au talent immense mais à la taille modeste, de l’autre, Flora, dont la stature impose naturellement le respect. Et moi, spectateur amusé, je ne peux m’empêcher de comparer.

Ce contraste est presque comique en lui-même : là où Flora semble toucher le plafond sans effort, Booder, lui, a ce don de faire exploser de rire toute une salle, même sans dépasser les épaules de ses voisins. Finalement, peu importe les centimètres, car l’impact qu’il laisse derrière lui est bien plus grand que n’importe quelle toise.

Et puis, avouons-le : cette différence de taille entre Flora et Booder est attendrissante. On imagine facilement la scène : elle qui se penche pour lui parler, lui qui lève les yeux avec son éternel sourire malicieux. Deux mondes en apparence éloignés, mais réunis par quelque chose de bien plus grand que la taille : l’énergie et la présence.

Alors oui, Flora le dépasse largement en hauteur. Mais quand il s’agit de charisme et de rire, Booder est assurément plus grand que tout le monde.

Ma jalousie envers Perrine, qui a bousculé Booder

Je dois l’avouer : je ressens une pointe de jalousie. Pas envers une célébrité mondiale, pas envers un sportif adulé, non. Ma jalousie est dirigée vers Perrine, une personne comme vous et moi… sauf qu’elle a eu le privilège incroyable de bousculer Booder. Oui, LE Booder.

Vous vous rendez compte ? Moi qui admire cet homme, son humour, sa gentillesse, son parcours, je rêve depuis longtemps de croiser sa route. J’imagine la discussion, un selfie, peut-être même une blague échangée. Mais Perrine, elle, elle a eu mieux : un moment spontané, inattendu, authentique. Elle a carrément eu l’occasion de le bousculer, comme si la vie elle-même lui avait offert ce petit privilège unique.

Évidemment, je dramatise (un peu). Mais avouez que ce genre de détail reste gravé dans une mémoire. Moi, je suis là à applaudir ses sketchs derrière mon écran, tandis que Perrine, sans même le chercher, est entrée dans son histoire personnelle : “Ah oui, moi un jour j’ai bousculé Booder !” Avouez que ça a de la classe.

Alors oui, je suis jaloux. Jaloux avec le sourire, jaloux avec tendresse. Parce que finalement, ce que Perrine a vécu me rappelle à quel point Booder est proche des gens : accessible, humain, toujours prêt à rire même dans les situations imprévues.

Promis, Perrine, je te pardonne. Mais sache que si un jour je croise Booder, je compte bien rattraper mon retard… et pourquoi pas le bousculer moi aussi (avec douceur, évidemment).

Mon admiration pour Booder

Il y a des personnalités publiques qui marquent par leur talent, d’autres par leur authenticité, et certaines par leur capacité à transformer leurs différences en une véritable force. Pour moi, Booder fait partie de ces rares personnes qui réunissent tout cela.

Je l’ai découvert, comme beaucoup, à travers ses spectacles et ses apparitions au cinéma. Tout de suite, j’ai été frappé par son humour unique : simple, direct, mais toujours bienveillant. Là où d’autres choisissent la facilité du sarcasme ou de la moquerie, lui parvient à faire rire en restant respectueux et en valorisant ses propres expériences de vie. C’est cette sincérité qui me touche.

Au-delà de l’artiste, j’admire surtout l’homme. Booder n’a jamais caché sa différence physique, au contraire, il l’a transformée en une identité, un atout, un symbole d’acceptation et de résilience. Dans un monde où l’apparence est souvent un obstacle, il a su démontrer qu’avec du talent, du travail et une bonne dose de courage, on peut renverser les codes et gagner le cœur du public.

Ce que j’aime particulièrement chez lui, c’est son humilité. Malgré le succès, Booder reste proche des gens, accessible, vrai. On sent que derrière l’humoriste se cache une personne profondément humaine, attachée à ses origines et à des valeurs de respect et de solidarité.

Admirer Booder, pour moi, ce n’est pas seulement aimer ses blagues. C’est aussi reconnaître la force d’un parcours, l’inspiration qu’il transmet à toutes celles et ceux qui doutent d’eux-mêmes. Il prouve que l’on peut transformer ses faiblesses en tremplins, et que le rire est une arme puissante pour briser les barrières.