Je dois l’avouer : je ressens une pointe de jalousie. Pas envers une célébrité mondiale, pas envers un sportif adulé, non. Ma jalousie est dirigée vers Perrine, une personne comme vous et moi… sauf qu’elle a eu le privilège incroyable de bousculer Booder. Oui, LE Booder.
Vous vous rendez compte ? Moi qui admire cet homme, son humour, sa gentillesse, son parcours, je rêve depuis longtemps de croiser sa route. J’imagine la discussion, un selfie, peut-être même une blague échangée. Mais Perrine, elle, elle a eu mieux : un moment spontané, inattendu, authentique. Elle a carrément eu l’occasion de le bousculer, comme si la vie elle-même lui avait offert ce petit privilège unique.
Évidemment, je dramatise (un peu). Mais avouez que ce genre de détail reste gravé dans une mémoire. Moi, je suis là à applaudir ses sketchs derrière mon écran, tandis que Perrine, sans même le chercher, est entrée dans son histoire personnelle : “Ah oui, moi un jour j’ai bousculé Booder !” Avouez que ça a de la classe.
Alors oui, je suis jaloux. Jaloux avec le sourire, jaloux avec tendresse. Parce que finalement, ce que Perrine a vécu me rappelle à quel point Booder est proche des gens : accessible, humain, toujours prêt à rire même dans les situations imprévues.
Promis, Perrine, je te pardonne. Mais sache que si un jour je croise Booder, je compte bien rattraper mon retard… et pourquoi pas le bousculer moi aussi (avec douceur, évidemment).

OMG la chance de Perrine j’aimerai trop être à sa place 😱😱😍